| Réaction à l’attentat de Québec : « Nous sommes solidaires » 
					- Louis Plamondon
 Ottawa, le 30 
					janvier 2017 – Dans la foulée de l’attentat de Québec, voici 
					ma déclaration et celle du Bloc Québécois « Hier, six des nôtres 
					ont été assassinés en raison de leur foi. Cinq des nôtres 
					reposent toujours à l’hôpital dans un état grave pour la 
					même raison. Nous sommes de tout coeur avec eux.  Nous 
					avons tous été horrifiés par l’attentat de Québec et nous ne 
					comprenons pas. Nous ne comprenons pas cette violence, cette 
					barbarie, nous ne comprenons pas que quiconque puisse 
					presser la détente pour tuer des gens qui prient, des gens 
					qui parlent, des gens qui pensent autrement.  Nous la 
					dénonçons, nous la rejetons et nous la méprisons 
					profondément, cette violence qui nous inspire à la fois 
					tristesse, désespoir, honte et colère. Mais nous ne la 
					comprenons pas, nous ne l’intégrons pas. Nous sommes solidaires 
					de nos concitoyennes et de nos concitoyens de la communauté 
					musulmane, nous sommes solidaires des familles et des amis 
					qui ont perdu hier un être cher pour rien. Nous pensons très 
					fort aux enfants et aux conjointes des victimes de ce 
					massacre insensé et tellement lâche. Et nous sommes 
					solidaires. Nous sommes solidaires 
					de toutes celles et de tous ceux qui pleurent aujourd’hui la 
					mort injuste des victimes de l’attentat de Québec. Nous 
					sommes solidaires de toutes celles et de tous ceux qui ont 
					honte du geste posé au Centre culturel islamique de Québec. 
					Honte que ce soit dans notre société. Honte que le 29 janvier 
					2017 soit à jamais inscrit comme un jour noir de notre 
					histoire. Nous sommes solidaires dans les larmes, nous 
					sommes solidaires de toutes les Québécoises et de tous les 
					Québécois touchés par cet événement, de toutes celles et 
					tous ceux partout dans le monde qui se sentent atterrés par 
					ce qui est arrivé hier. Et nous serons solidaires aussi 
					quand viendra le temps des solutions. » Source: bureau du député Louis 
					Plamondon |